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Page:Garnir - Le Commandant Gardedieu, 1930.djvu/162

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compris trois chauffeurs qui ne chauffaient malheureusement pas du tout — tous avec la mine de gens qui espéraient manger du foie gras et à qui on a servi du rutabaga au vinaigre.

Je suis également les enterrements de tous les gens ayant habité une maison à porte-cochère.

J’ai été assister, à Bruxelles, à l’arrivée, à la gare du Nord, du Shah de Perse et, en glissant un billet de vingt francs au photographe de l’Avant-Dernière Heure, j’ai figuré sur le cliché, à côté du Shah.

Je me suis fait nommer membre du C. L. P. R. H. F. M. C. D. N. P., c’est-à-dire du Comité liégeois pour la reconstitution de l’histoire folklorique du moulin à café dans nos provinces, depuis le prince-évêque Constant d’Elbourn jusqu’au règne d’Albert Ier. J’y ai fait d’ailleurs, pour ma réception, quelques piquantes observations sur les formes diverses des boutons de cuivre ornant le manche du moulin sous le régime autrichien — observations que j’ai communiquées ensuite au Cayaux-Club et qui ont été insérées dans notre bulletin : Le Folklore Montois ; cela m’a valu une lettre de félicitations de M. Lafontaine et une invitation à visiter le Musée Mondial du Cinquantenaire.

J’ai été saluer, au Sénat, le sénateur Remou-