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Page:Germaine de Stael - Lettres et pensées du maréchal prince de Ligne, Paschoud, 1809.djvu/98

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pour toutes les grandes choses qu’elle fait. On n’a pas d’idée du plaisir qu’il y a à la suivre.

Adieu, chère Marquise. J’entends déjà des millions d’Allah que font retentir vers l’orient nos bons musulmans, pour notre heureux voyage. On apprend à hurler avec les mahométans : et je me surprends quelquefois à invoquer Mahomet tout comme un autre. Puisse-t-il verser sur votre joli visage la rosée de ses bénédictions, pour qu’il soit toujours aussi frais que la fleur du matin.