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Page:Goncourt - Outamaro, 1891.djvu/139

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OUTAMARO

Il est encore entre les deux peintres une plus grande ressemblance, c’est qu’eux deux seuls, dans la coloration de leurs Nishiki-yé, ont édité des planches coloriées, ainsi que la « Promenade du petit daimio, un moineau sur la main », ont édité des planches, dont le charme harmonique est obtenu par l’unique emploi sur un fond jaunâtre, du bleu, du vert, du violet, avec dans ces trois colorations, le noir d’une robe ou d’une ceinture : — un charme à la fois doux et sévère, un charme demi-deuil.