femmes qui fuient la main qui va les saisir, tombent à plat ventre.
C’est dans le grand salon, au milieu de la curiosité générale des femmes, et des têtes tendues passant par l’entre-deux des portes, le début de la chanteuse, précédé d’une distribution d’écrans, où est écrit son nom, au milieu de vers célébrant sa personne et son talent.
Cette fête, appelée Torô, et qui a lieu au milieu de l’été, montre toute la maison, occupée à attacher des lanternes. Et dans cette fête les lanternes ont peintes, sur leur transparence éclairée, les caricatures les plus drolatiques.
Espèce de carnaval de là-bas, où toutes les chanteuses sont déguisées en hommes, avec les cheveux coupés à la façon de jeunes garçons.
Maintenant voilà l’illustration du second volume qui ne contient que neuf planches.