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Page:Gustave Moynier - Etude sur la convention de Genève pour l'amélioration du sort des militaires blessés dans les armées en campagne (1864 et 1868).djvu/390

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376
TABLE DES MATIÈRES.
Réunion d’une Conférence internationale 
 318
Opinion des publicistes 
 322
La Conférence ne s’est pas occupée des autres moyens de destruction 
 324
Elle a implicitement approuvé ceux qu’elle n’a pas proscrits 
 328
Néanmoins elle a créé un précédent d’une grande valeur 
 329
Texte de la déclaration du 4/16 novembre 1868 
 331
À l’occasion de la Convention de Genève on a parlé des prisonniers valides, mais sans rien faire pour eux 
 333
Aperçu du sort des prisonniers dans ses diverses pha­ses historiques 
 335
Le droit des gens, en ce qui concerne les prisonniers, s’est profondément modifié sous l’influence de l’esprit moderne 
 338
Le nouveau droit n’est cependant pas encore complètement substitué à l’ancien 
 340
Pour le fixer, il faut une Convention 
 344
Déjà les usages sont généralement en harmonie avec le droit nouveau 
 345
Mais des exceptions se produisent encore : Exemple tiré de la guerre des États-Unis 
 347
Pour la fixité des usages, comme pour celle des prin­cipes, une Convention est donc nécessaire 
 363
Elle devrait sanctionner le renvoi des prisonniers, sous condition de ne plus reprendre les armes 
 364


10798. — Imp. gén. de Ch. Lahure, rue de Fleurus, 9, à Paris.