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Page:Hérondas - Mimes, trad. Dalmeyda, 1893.djvu/135

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APPENDICE


NOTES ET ÉCLAIRCISSEMENTS

Nous avons suivi dans la traduction de ces mimes les éditions Buecheler (Bonn, 1892) et Crusius (Leipzig, Teubner, 1892), particulièrement cette dernière, qui est la plus récente. Les amis du poète grec doivent être reconnaissants au savant professeur de Tubingue, à qui nous devons de nouvelles lectures, faites sur l’autotype, et plusieurs bonnes conjectures. Nous nous sommes quelquefois écarté de son texte, quand les suppléments qu’il propose nous ont paru trop hardis, ou quand les leçons de la seconde main nous ont semblé préférables à celles de la première. Nous avons aussi profité des récentes lectures faites par Blass, sur le papyrus même, au British Museum (Göttingische Gelehrte Anzeigen, 1893, no 22, p. 857 sqq.), et des suppléments proposés par Diels dans ses essais