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Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/17

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RELATION
DE HANS STADEN.




CHAPITRE PREMIER.


Moi, Hans Staden de Hombourg, en Hesse, ayant pris la résolution, s’il plaisait à Dieu, de visiter les Indes, je me rendis en Hollande, où je m’embarquai à Campen, sur des vaisseaux qui allaient chercher du sel en Portugal. Après un mois de navigation, le 29 avril 1547, nous arrivâmes au port de S. Tuval (Setubal)[1] ;

  1. L’orthographe des noms propres de cette relation est généralement incorrecte ; nous l’avons restituée autant qu’il nous a été possible.