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Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/251

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CHAPITRE VII.


De leur adresse à tuer les animaux sauvages et les poissons à coups de flèches.


Soit que ces sauvages aillent dans les bois, ou près des rivières, ils portent sans cesse leurs arcs et leurs flèches avec eux. Quand ils sont dans les bois, ils tiennent toujours les yeux levés en l’air pour voir s’ils n’aperçoivent pas quelques gros oiseaux, quelque singe ou d’autres animaux qui se tiennent sur les arbres.