Aller au contenu

Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/35

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


CHAPITRE V.


Comment nous allâmes de Prannenbuske au pays des Buttagaris, où nous trouvâmes un vaisseau français avec lequel nous combattîmes.


Après avoir quitté ce port, nous allâmes à un autre situé à quarante milles de là, et nommé port des Buttugaris, où nous espérions faire un chargement de bois du Brésil, et acheter des vivres aux sauvages. Nous y trouvâmes un vaisseau français, que l’on chargeait de bois. Nous nous empressâmes