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Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/51

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CHAPITRE VIII.


Comment nous quittâmes le port pour chercher le pays où nous voulions aller.


Aussitôt que le vent d’ouest-sud-ouest se fut calmé et que le temps fut redevenu beau, nous remîmes à la voile par un vent de nord-ouest pour chercher ce pays ; mais nous marchâmes pendant deux jours sans pouvoir trouver un port. Nous pensâmes cependant, en observant de la côte, que nous devions l’avoir