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Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/53

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n’avait pas cessé de veiller sur nous, permit que l’orage s’apaisât. Nous pûmes donc rebrousser chemin et recommencer à chercher le port, mais nous ne le trouvâmes pas à cause d’un grand nombre d’îles situées le long de cette côte.

Étant arrivés de nouveau par 28 degrés, le capitaine ordonna au pilote de passer entre les îles, et de jeter l’ancre pour voir où nous étions. Nous entrâmes donc entre deux côtes qui formaient un beau port, et nous y mouillâmes, après quoi nous nous mimes dans une chaloupe pour mieux examiner cette baie.