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Page:Henri Poincaré - Les méthodes nouvelles de la mécanique céleste, Tome 2, 1893.djvu/162

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CHAPITRE XIV.

et la dérivée devra également être une constante, dépendant seulement des et des

Mais on a

Les dérivées de sont des constantes. La première équation (8) nous apprend qu’il en est de même de et Donc est aussi une constante que nous pourrons égaler à et nous aurons ainsi satisfait à la deuxième équation (19).

Au no 152, nous avons ensuite déterminé successivement (et, par conséquent puisque est une constante que l’on peut choisir arbitrairement), par (6, 1, 1), (6, 3, 1), (6, 4, 1) et (6, 2, 1). Je n’ai rien à changer à cette partie du calcul.

Déterminons maintenant

et

et pour cela considérons les équations (7, 3, 2) et (7, 4, 2). Ces équations prennent la forme

(22)

et étant connues.

Ces équations sont analogues aux équations (9) ; seulement ayant une expression moins simple, il n’arrive plus, comme au no 152, que, pour la première de ces équations par exemple, les trois derniers termes du second membre se réduisent respectivement à

ce qui apportait une simplification notable.

Substituons donc dans (22) à la place de et leurs développements (17), à la place de son développement (20) et à la place de son développement