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iv
Beaucoup de paysagistes, pressés de peindre ce qu’ils ont sous les yeux, s’avisent, seulement quand leur œuvre est terminée, d’y placer la figure qui doit l’animer. L’artiste se trouve alors dans les conditions les plus défavorables pour réussir cette figure, qu’il eût dû attaquer hardiment dans l’ébauche. Il lui faut maintenant une expérience consommée, sans quoi ses personnages auront toujours l’apparence de pièces rapportées.
La figure humaine est comme un centre d’attraction, qui absorbe à son profit les détails environnants. Prise dans la masse, elle se lie
