2o La poste (transformée en bureau de l’État, le 14 septembre 1905).
3o Le télégraphe installé le 24 octobre 1904 (et muni aujourd’hui d’appareils Morse).
4o « Le camp du Caroubier » créé à l’entrée de Port-Say, par le Général Servière, le 18 mars 1905,
5o L’École primaire mixte, franco-arabe, créée par l’Académie d’Oran, le 1er juillet 1906.
6o Le « Bureau-Arabe » (annexe du Bureau-Arabe de Marnia) installé au « Camp du Caroubier » le 15 janvier 1907.
7o Depuis juillet 1908 Port-Suy a ses « registres particuliers d’État-Civil ». Reconnaissance de son autonomie et de sa vitalité propre.
8o Et enfin, Port-Say devenu Port-Abri des Côtiers de Commerce, des torpilleurs, contre-torpilleurs et avisos de l’État, en service à la frontière, présente 2 jetées de 500 mètres de long, avec plate-forme de débarquement, échelles et esplanade d’entrepôt,… etc…
9o « Un village bocoya », ayant servi de « redoute » lors de la campagne des Béni-Snassen 1907-1908, et des « terrasses fortifiées » (Zaouïas) encerclant le territoire de Port-Say et commandant les gorges du Kiss, « la casbah de Saïdia » et toute la baie de Port-Say.
10o Des routes carrossables, et même praticables à l'Auto, mettent Port-Say en communication directe et facile avec Oudjda, Marnia, les mines de Gar-Rouban, de Maazis, en passant par Martimprey, Bab-el-Assas…. et tous les centres nouveaux de colonisation. À l’Est par Nemours, Nédromah et font jonction avec la ligne de Tlemcen, Bel-Abbès, Oran, etc…
III. — Le siège de Port-Say.
Récit publié par l'Écho d’Oran :
Le 27 novembre à 10 heures du matin, Port Say a été
