Livre:Hess - Une Algérie nouvelle, 1909.djvu

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TitreUne Algérie nouvelle
Sous-titreQuelques principes de colonisation pratique sur le propos du Maroc oriental et de Port-Say
AuteurJean Hess Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionP.-V. Stock
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1909
BibliothèqueHathi Trust
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Note au chapitre Ier. — Une lettre de M. de Suffren 
 7



Note au chapitre II. — I. Avant l’accord politique franco-allemand, le Ministère des Affaires Étrangères affirmait sa sollicitude pour le développement économique du Maroc oriental p. 11. — II. Lettre où je soumets au Ministre mon avis sur l’Algérie nouvelle, p. 
 12



Note au chapitre III. — I. M. Revoil à Algésiras, p. 16. — II. L’accord franco-allemand, p. 16. — III. L’opinion du Comité du Maroc, p. 17. — IV. L’opinion de M. Étienne, p. 
 18



Note au chapitre IV. — I. Quelques notes en preuve. — M. Delcassé. — Déclaration du Comité du Maroc. — Le Bulletin du Comité. — M. Chailley, p. 26. — II. Ce que dans l’intérêt algérien, c’est-à-dire dans l’intérêt français on devait, on pouvait penser en 1902 pour ne rien vouloir changer au Maroc, p. 31. — Une note du Phare de la Loire, p. 
 35



Note au chapitre V. — I. Le parti colonial en conquérant l’Empire a promis de nous rendre plus forts et de nous faire respecter à Londres comme à Berlin. Citations de Jules Ferry, Rambaud, René Millet, Joseph Reinach, Étienne, p, 43. — II. La Réponse des faits, p. 44. — III. Le parti colonial en conquérant l’Empire nous a promis des marchés qui rendraient la prospérité à notre commerce, à notre industrie, des marchés privilégiés. Citations de Jules Ferry, Rambaud, p. 45. — IV. La réponse des faits, opinions de MM, Caillaux, Clémentel, Guieysse, Baudin, Deloncle, p. 
 46






Chapitre X. — La loi des races, p. 
 67


Chapitre XI. — La loi des nationalités, p. 
 76


Chapitre XII. — La politique de l’association, p. 
 83


Note au chapitre XII. — L’histoire de la politique de l’association. Ce qu’a dit exactement M. Harmand, p. 
 92







Note au chapitre XVII. — I. M. le général de Ferron et les militaires coloniaux, p. 119. — II. Le bureau arabe de Marnia, le Comité du Maroc et Port-Say, p. 121. — III. Les officiers jouent un rôle de dupes, p. 122. — IV. L’autorité militaire a des idées trop… militaires sur les affaires commerciales. L’exemple de M. Herson, p. 122. — VI. L’histoire officielle d’une contestation de terrain entre un Bureau arabe et Louis Say, p. 127. — VI. Les Bureaux arabes condamnés par la Dépêche coloniale, p. 134. — VII. Entre militaires, ceux des Bureaux arabes veulent être les maîtres de tout le monde, même des autres militaires, p. 
 135


Chapitre XVIII. — Cedant arma togae, p. 
 143


Note au chapitre XVIII. — Les ennemis précieux 
 147





Note au chapitre XXII. — I. La note tragique. Saint-Pierre, p. 165. — II. La note noire. Légitimus, p. 165. — III. La note blanche… tout de même un peu noire. Sauvrezis, p. 166. — IV. La note absurde. Pour faire plaisir à un groupe d’électeurs, l’administration algérienne déclare plus courts que le troisième les deux côtés d’un triangle, p. 170. — V. La note coûteuse. Les accès de Nemours, p. 172. — VI. La note enfantine. Au service de la politique l’administration veut débaptiser Port-Say, p. 176. — VII. La note comique. En France, p. 
 177






Note au chapitre XXV. — I. L’Espagne au Cap de l’Eau, p. 193. — II. Les Espagnols et les Allemands veulent construire au Maroc la première ligne de chemin de fer par Melilla, p. 
 193



Chapitre XXVII. — Les autorités indigènes, p. 
 200


Chapitre XXVIII. — Les associés indigènes, p. 
 202




Note au chapitre XXXI. — I. Le nombre des indigènes qui habitent les régions fertiles, p. 218. — II. Les indemnités de guerre aux colons de la frontière, p. 
 219




Chapitre XXXIII. — Sur les mines du Maroc oriental, p. 
 230



Note au chapitre XXXIV. — I. Précisions de M. Mellet, directeur des travaux publics d’Oudjda sur les terres et les cultures du Maroc oriental, p. 236. — II. Sur le même propos, notes du secrétariat de Louis Say, p. 
 239



Note au chapitre XXXV. — I. L’Algérie est un riche pays agricole, cependant, nous dit la Dépêche Coloniale, cette colonie a peu de terres irriguées et n’en a plus d’irrigables, p. 246. — II. Note à la suite, p. 
 246



Chapitre XXXVII. — Sur les irrigations du Maroc oriental, p. 
 252


Chapitre XXXVIII. — Sur le commerce du Maroc oriental, p. 
 258


Note au chapitre XXXVIII. — I. Le commerce de Marnia en 1907, p. 264. — II. Le commerce du Maroc oriental par Port-Say, p. 265. — III. Oudjda, ville de commerce, p. 265. — IV. L’intelligence commerciale du consommateur marocain, p. 
 266



Note au chapitre XXXIX. — Note de M. Mellet sur la construction d’un chemin de fer et l’établissement d’irrigations, p. 
 271



Note au chapitre XL. — I. Quelques indications bibliographiques sur Port-Say et les fondateur de Port-Say, p. 280. — II. Note du secrétariat de Louis Say sur l’état actuel de Port-Say, p. 281. — III. Le Siège de Port-Say, p. 282. — IV. Les réalités maritimes de Port-Say, p. 284. — V. Les réalités maritimes de Nemours dans un rapport officiel, p. 286. — VI. L’avenir de Port-Say, d’après M. Auffret, p. 
 287


Chapitre XLI. — Conclusion, p. 
 290