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Note au chapitre III. — I. M. Revoil à Algésiras, p. 16. — II. L’accord franco-allemand, p. 16. — III. L’opinion du Comité du Maroc, p. 17. — IV. L’opinion de M. Étienne, p. 

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Chapitre IV. — Il y eut un malentendu opiniâtre entre la raison, le bon sens et les prétentions du parti colonial sur le Maroc, p. 

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Note au chapitre IV. — I. Quelques notes en preuve. — M. Delcassé. — Déclaration du Comité du Maroc. — Le Bulletin du Comité. — M. Chailley, p. 26. — II. Ce que dans l’intérêt algérien, c’est-à-dire dans l’intérêt français on devait, on pouvait penser en 1902 pour ne rien vouloir changer au Maroc, p. 31. — Une note du Phare de la Loire, p. 

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Chapitre V. — La faillite marocaine n’est point la seule que l’on puisse opposer au parti colonial, p. 

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Note au chapitre V. — I. Le parti colonial en conquérant l’Empire a promis de nous rendre plus forts et de nous faire respecter à Londres comme à Berlin. Citations de Jules Ferry, Rambaud, René Millet, Joseph Reinach, Étienne, p, 43. — II. La Réponse des faits, p. 44. — III. Le parti colonial en conquérant l’Empire nous a promis des marchés qui rendraient la prospérité à notre commerce, à notre industrie, des marchés privilégiés. Citations de Jules Ferry, Rambaud, p. 45. — IV. La réponse des faits, opinions de MM, Caillaux, Clémentel, Guieysse, Baudin, Deloncle, p. 

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Chapitre VI. — Sur le droit à la critique en matière coloniale, p. 

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Chapitre VII. — Pour agir pratiquement, c’est-à-dire avec chance, avec certitude de succès économique dans le Maroc oriental… et ailleurs… on doit changer et les directeurs et les principes de notre politique coloniale, p. 

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Chapitre VIII. — Un principe juste est plus fort que tout. Du respect des lois qui ne sont point faites par les hommes dépend l’excellence de toute politique, p. 

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