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Page:Histoire de Marguerite, fille de Suzon, 1784.djvu/77

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ſon rôle. Non, je t’avoue qu’il ne lui étoit guere poſſible qu’il échappât à tant de charmes. Dis-moi, tu lui accorda ſans doute ?…

Marguerite. Oui, il tomba ſur moi avec une avidité ſans pareille ; il mit son gros membre tout brûlant dans la fente qu’il avoit tant admiré, & il donna un ſi gros coup de cul, qu’il me cauſa de très-vives douleurs. Arrête, milord, lui dis-je, je ſuis briſée. Au lieu d’arrêter, il redoubla ſes efforts : au troiſieme coup il entra en m’arrachant un cri perçant, mais bientôt après, je ſentis