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Page:Huysmans - La Bièvre et Saint-Séverin.djvu/173

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VIII

La rue Saint-Séverin continue la rue Galande, mais entre le commencement de l’une et la fin de l’autre s’étend, derrière l’abside de l’église enfouie sous de malpropres masures, une petite place formée par le débouché de la rue Saint-Julien-le-Pauvre et de celle du Petit-Pont qui vient du quai et meurt, en enfantant cette rue Saint-Jacques que la plupart des anciens plans désignent sous le nom de « la Grand’Rue ». Dans sa Description de la ville de Paris au XVIIIe siècle, Germain Brice dit qu’elle était habitée par des libraires et des marchands d’estampes, à