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Page:Ivoi - Les Cinquante.djvu/168

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À cette minute, il riait, marmottant :

— Ah ! ah ! Il est sauvé, ma Serena sera contente.

— Qui es-tu, questionna Drouot ?

— Je suis Césari, le matelot.

Napoléon eut un frémissement :

— Césari, j’ai déjà entendu ce nom aujourd’hui.

Le marin joignit les mains.

— C’est donc vrai. Serena ne m’avait pas trompé.

— Qui cela, Serena.

— Ma fiancée ; la jolie m’a confié que vous permettiez notre mariage, et je m’étais lancé à votre poursuite pour entendre cela de votre bouche, quand…