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Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/172

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Et Sainte Anne était tout l’aimable, aux sens et à l’âme, du plus ancien passé de Sengle.


Sengle élut donc Sainte Anne comme truchement de soi avec l’Extérieur et synthèse de toute sa force éparpillée en saxifrage dans les interstices des pierres militaires. Et il forma cette synthèse par une invocation perpétuelle selon soi et selon les rites.

Quand il la crut suffisante, il résolut une épreuve probante, afin de savoir si l’arme était prête.