Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/66

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aucun officier ne traverse devant les fusils, on envoie vérifier les trous des ricochets ou des balles des soldats de deuxième classe. Et pourtant les officiers n’ont rien à craindre, la troupe est domestiquée à miracle, et « le maladroit ou le fou » serait écharpé par ses camarades, même sans ordre.