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Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/99

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iii
la jatte des culs

Sengle était allé à la visite du major avec cette naïveté — se sentant bien définitivement incapable d’obéir à certains commandements du service, d’espérer qu’on commencerait à l’y reconnaître impropre. D’autant que, mal guéri de l’influenza qu’il croyait avoir suffisamment accrue par la double fatigue, sexuelle et musculaire, des derniers jours libres, à ce moment-là ses poumons étaient vraiment malades. Et il entrevit que cette libération légale