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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 4.djvu/221

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principes connus de la théorie des hasards, l’équation

laquelle est, comme l’on voit, aux différences finies et partielles entre quatre variables.

Or il est visible : 1o que le joueur perd lorsque étant nul, et ont encore une valeur positive quelconque ; d’où il s’ensuit que l’on doit avoir, en général, lorsque ou 2o que si l’on fait on a le cas du Problème précédent, de sorte que la valeur de doit être la même que celle de du no 49 ci-dessus ; 3o que si l’on fait on aura aussi le cas du même Problème en changeant seulement en et en par conséquent, la valeur de sera aussi la même que celle de du no 49, mais en y changeant en en

Cela posé, je mets l’équation différentielle sous la forme suivante

et la comparant à la formule (L) du no 42, j’aurai, en faisant, pour abréger,

d’où

et de là j’aurai sur-le-champ, par la formule du no 43, cette expression générale