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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 4.djvu/552

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il est bon d’examiner de plus près la loi qu’observent les quantités

Par la formation de ces quantités il est visible qu’il y a entre elles les mêmes rapports qu’entre les quantités correspondantes de sorte qu’on aura aussi, en général, en vertu des équations (E),

donc, on aura

mais, lorsque on a

donc

donc, en général,

le signe supérieur étant pour le cas où est pair, et l’inférieur pour celui où est impair.

16. Or on voit par les formules du no 7 que les expressions des quantités ne contiennent point la quantité donc, si dans l’équation précédente on fait varier les quantités et doivent demeurer constantes ; et l’on aura en divisant par

d’où il s’ensuit que les quantités sont proportionnelles aux quantités de sorte qu’on aura, en général,

étant un coefficient constant. Pour le déterminer, on fera, par exemple,