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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/100

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

nommé major au 74e d’infanterie, 67. — Son entrevue secrète avec Lagrange de Langre, 67. — Sa concubine à Rouen, 68. — Sa liaison avec Marguerite Pays, 69 et note 1. — Aurait été dénoncé en 1892 au général Brault comme suspect d’espionnage, 68. — fait demander à Léon Berger une place à la Commission de la dette publique, à Constantinople, 70. — Refuse cette place lorsqu’elle lui est offerte en 1893, 71. — Ses relations d’espionnage avec Schwarzkoppen, I, 47-48, II, 71-73. — Communique à Schwarzkoppen un résumé des procès-verbaux du Comité d’artillerie, 73. — Engagé à raison de 2.000 marks par mois, 74. — Sa mauvaise réputation à Dommartin, 76-77. — Hypothèse d’après laquelle Henry aurait été complice de ses trahisons, 78-79. — Son influence sur Henry, 80-82. — Comment il se procure les renseignements qu’il fournit à Schwarzkoppen, 83, note 2. — Ses relations avec Weil, 84-85. — Fait copier des documents par le soldat Mulot, 87. — Soupçonné par Schwarzkoppen de ne pas être officier, 88. — Comment il se justifie de ce soupçon, 89. — Ses relations avec Schwarzkoppen ignorées de Munster, 89-90. — l’État-Major allemand renonce à ses services, 90. — De mande des subsides à des banquiers juifs ; travestit son rôle dans l’affaire Crémieu-Foa, 91. — Ses démêlés avec sa famille, 92-93. — Sa lettre à Alphonse de Rothschild, 93-94. — Obtient, par l’intermédiaire de Weil, 2.000 francs de Zadoc-Kahn, 94-95. — Prend part aux manœuvres, 96. — Se fait envoyer aux écoles à feu, 96-97. — Sa présence à Châlons lors de l’expérimentation du 120 court, 98-99. — Connaissait le 120 long et le nouveau manuel de tir d’artillerie, 99. — Emprunte au lieutenant Bernheim la réglette et le règlement « siège et place », 102 ; I, 294, note 6. — Garde ces deux objets malgré les réclamations de Bernheim, II, 103. — Ses explications à ce sujet, 104. — Envoie peu après à Schwarzkoppen la lettre connue sous le nom de bordereau, 104-105 ; lui adresse en même temps, sous pli spécial, les renseignements annoncés dans le bordereau, 106. — Lui propose le projet de manuel de tir d’artillerie, 107. — Particularités de la rédaction du bordereau qui lui sont habituelles, 107-110. — Ses versions différentes au sujet de l’arrivée du bordereau à l’ambassade d’Allemagne I, 46, note 2 ; II, 111-113. — Part pour Dommartin le jour de l’arrestation de Dreyfus, 115. — Fonds déposés par lui dans des établissements de crédit, 117. — Déclare à Maurice Weil que Dreyfus sera condamné bien qu’innocent, 117 ; I, 383. — Aurait inspiré les attaques de la Libre Parole contre Saussier, 117-118. — Demande vainement à venir à Paris, puis à faire partie de l’expédition de Madagascar, 118. — Reprend ses relations avec Schwarzkoppen, s’abouche avec d’autres attachés ; profits qu’il tire de ses trahisons, 144. — Averti par Henry de la démarche de Cesti auprès de Mathieu Dreyfus, en parle à Pellieux, 183. — Arrivée du Petit Bleu au ministère, 238-239. — Ses relations avec Schwarzkoppen en 1896, 243-244. — Avait souvent reçu des petits bleus de Schwarzkoppen, 244-245. — Renseignements donnés sur lui à Picquart par Curé et par Henry, 248-250. — Est prévenu par Henry qu’il va être surveillé, 251. — Avertit Schwarzkoppen, qui fait surveiller les employés de l’ambassade, 252, 264. — Renseignements fournis par Desvernine sur ses relations avec Marguerite Pays, 253. — Donne congé de son appartement, 266. — Sa correspondance saisie à la poste par ordre de