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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/101

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INDEX GÉNÉRAL

Picquart, 269. — Soupçons de Picquart à son égard, 270-271. — Désigné par Picquart à Boisdeffre comme coupable de trahison, 281. — Mis par Henry au courant de lent revue de Bâle, 283-284. — Fait de nouvelles démarches pour entrer au ministère de la Guerre, 284-285. — Les lettres que lui adresse Weil à ce propos sont interceptées, 286. — Se fait recommander à Billot par Jules Roche, 286-288. — Ses lettres à Calmon et à Thévenet sont remises à Picquart, 288-290. — Picquart les fait photographier, Bertillon y reconnaît l’écriture du bordereau, 291-292. — Renseignements fournis sur lui à Picquart par le colonel Abria, 333. — Ses embarras d’argent vont croissant, 381. — Renouvelle ses instances pour entrer au ministère, 382. — Essuie un refus formel de la part de Billot, 383. — Perquisitions de Desvernine à son domicile, 384-385. — Sa détresse et ses angoisses, 432-433. — Ses lettres à Weil et à Drumont, 433-434. — Son écriture reconnue par diverses personnes dans la photographie du bordereau reproduite par le Matin, 434-436. — Inquiétudes que lui cause cette publication, 436-437. — Aurait communiqué avec Henry dans une maison de la rue du Rocher, 437. — Ses manœuvres pour ne pas être dénoncé à la Chambre par Castelin, 440. — Son nom n’est pas prononcé par Castelin (interpellation du 18 novembre 1896), 450. — Sa notice nécrologique sur le marquis de Nettancourt, son beau-père, 466 et note 1. — Modifie son écriture, 476. — Surveillé par Desvernine sur l’ordre de Gonse, 476. — Son entrevue avec Schwarzkoppen qui le congédie, 477. — Weil obtient pour lui, de l’abbé Seigneur et du rabbin Zadoc Kahn, une dizaine de mille flancs qu’il verse à ses créanciers, 477-478. — Ses notes militaires en 1895 et 1896, 478. — Redouble d’efforts pour entrer au ministère, 479. — Ses attaques contre Henry, 481-482. — Jugement de Billot à son égard, 483-484. — Se targue de faire mener par Drumont et Cassagnac une campagne de presse contre Billot, 485-486. — Menace de se dénoncer comme l’auteur du bordereau, 486-489. — Se réconcilie avec Henry, 490. — Ses escroqueries au préjudice de son cousin Christian, 491-500. — Informé par Henry des visites de Picquart à Leblois, 523. — Mis, sur sa demande, en non-activité, 540. — Tenu au courant des événements par Henry, qui le mande d’urgence à Paris après la seconde entrevue Bertin-Scheurer, 558-559. — Envoyé par Henry chez Guénée pour avoir des renseignements sur Billot, 560 et note 1. — Extorque à Christian une nouvelle somme d’argent, 561. — Reçoit la lettre signée Espérance, l’avisant qu’on veut le substituer à Dreyfus, 571-572. — Montre cette lettre à Marguerite Pays et lui manifeste l’intention de se tuer, 583-585. — Reçoit d’Henry, par l’intermédiaire de Gribelin, une lettre lui donnant rendez-vous au Parc Montsouris, 588. — Fait envoyer, par l’Alibi-office, une lettre anonyme à Hadamard, 589. — Son entrevue avec Schwarzkoppen, 591-593. — Son entretien avec Du Paty au Parc Montsouris, 593-595. — Retourne chez Schwarzkoppen et lui rend compte de cet entretien, 596. — Blâmé de cette imprudence par Henry, 597. — Ses nouvelles entrevues avec Du Paty, qui a mission de le tirer d’affaire, 600. — Rédige, sous la dictée de Du Paty, une demande d’audience à Billot, 601. — Avisé qu’il sera reçu par le général Millet, 601. — S’entretient à ce sujet avec Du Paty et Henry, 602. — Son entrevue avec le général Millet, 603-606. — Écrit à Billot sur le conseil de