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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/104

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

perts soient entendus à huis-clos. 196. — Lettre de Schwarzkoppen à Panizzardi révélant sa culpabilité, 199-200. — Se constitue prisonnier au Cherche-Midi, 200. — Certitude qu’il a de son acquittement, 201-203. — Exige que Gonse soit cité au procès, 204-205. — Son interrogatoire, 205-206. — Refuse de s’expliquer sur le « document libérateur », 207. — Son attitude pendant la déposition de Mathieu Dreyfus, 208 ; pendant la déposition de Picquart, 211-212. — Son acquittement, 215. — Enthousiasme avec lequel le verdict est accueilli, 215-216. — Témoignages de sympathie dont il est l’objet, 217-218. — Sa lettre de remerciements à Boisdeffre, 218. — Obtient de Pellieux une lettre l’autorisant à faire usage du rapport des experts sur la lettre du Ulhan, 219. — Son opinion sur la lettre J’accuse, 231, 296. — Informé de la plainte portée par Billot contre Zola, 294. — Mis par Rowland Strong en relations avec Oscar Wilde, 294-295. — En relations continues avec Pellieux et Tézenas, 296. — Jugement porté sur lui par Billot, 297. — Ses attaques contre Billot ; son avis sur les poursuites contre Zola, 298-299. — Son plan adopté par l’État-Major, 299-300. — Cité par la défense au procès Zola, 302. — Se rencontre avec Du Paty chez Tézenas, 321. — Attitude réservée des témoins militaires à son égard lors de la première audience du procès, 341. — Déclare qu’il ne déposera pas, 344. — Ne se rend pas à la seconde audience, 351. — Accueil « par ordre » que lui font les officiers à la troisième audience, 352. — Ses tentatives d’intimidation à l’égard de Mme de Boulancy, 360 ; 519 et note 5. — La déposition de Mme de Boulancy devant Bertulus est communiquée au jury, 417-418 ; son attitude pendant cette lecture, 435. — Défendu énergiquement par Pellieux, 419-424. — Ses inquiétudes à la veille de comparaître, 433. — Ses déclarations menaçantes à David Christie Murray, 433-435. — Son audition reportée, sur la demande de Labori, à la suite de celle de Boisdeffre, 440. — Sa comparution, 451. — A reçu de Pellieux l’ordre de ne pas répondre aux questions de la défense, 456. — Écoute sans mot dire le questionnaire d’Albert Clemenceau, 457-461. — Ovations dont il est l’objet à sa sortie de l’audience, 462-463. — Ménagé par Labori dans sa plaidoirie, 474. — Incité par Boisdeffre et Gonse à provoquer Picquart en duel, 512 ; choisit pour témoins Feuillant et Du Paty, qu’il remplace, sur l’invitation de Boisdeffre, par Sainte-Marie du Nozet et Bergouignan, 513. — Cède à Henry son droit de priorité pour le duel avec Picquart, 515. — La rencontre est déclinée par Picquart, 516. — Annonce qu’il va poursuivre ses diffamateurs en dommages et intérêts, 517. — Ses embarras d’argent, sa rupture avec sa femme, 517. — Henry excite sa défiance contre Du Paty, 530. — Manau l’engage à avouer son crime, lors de l’examen du pourvoi de Zola par la Chambre criminelle, 552. — Ses inquiétudes lors de la publication par le Siècle des entretiens de Casella avec Schwarzkoppen et Panizzardi, 559. — Déclare ne plus s’occuper de l’Affaire, 560. — Son discrédit croissant, 561. — Ses inventions sur la prétendue découverte du bordereau à l’ambassade de Russie, 562. — Rapports qu’il avait eus autrefois avec l’État-Major russe, 315-316 ; 563 et note 1. — Hypothèse d’après laquelle il aurait été agent du contre-espionnage, 564-565. — Invraisemblance de cette hypothèse, 567. — Aurait possédé une photographie du bordereau annoté, 589. — Ses nouveaux démêlés avec Christian, qu’il promet de payer