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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/103

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INDEX GÉNÉRAL

la « dame voilée » est la marquise Du Paty, 92. — Engage Pellieux à faire une perquisition chez Picquart, 93. — Entendu de nouveau par Pellieux, lui remet les prétendues lettres de la « dame voilée », 98. — A fait fabriquer ces lettres par Christian, 98. — Tiendrait de la « dame voilée » tout ce qu’Henry a raconté de Picquart à Pellieux, 99. — S’explique sur la déposition de Mathieu Dreyfus, 99-103. — Dénonce à Pellieux les faux par lesquels Cesti et Picquart auraient cherché à le perdre, 103. — Dément, après la déposition de Picquart à l’enquête Pellieux, la version d’après laquelle il aurait écrit le bordereau « par ordre », 108. — Averti qu’il ne passera pas en Conseil de guerre, 108. — Combine avec Henry le stratagème du « faux Otto », 108-110. — Piège tendu à Joseph Reinach, 111. — Les lettres à Mme de Boulancy lues à Pellieux par Scheurer-Kestner, puis saisies, 112-113. — Ses angoisses ; il se dispose à fuir, 114. — Précautions prises par Billot et Barthou pour empêcher sa fuite, 114-115. — Publication par le Figaro des lettres à Mme de Boulancy, 115-116. — Impression produite par cette publication, 115. — Déclare que ces lettres sont des faux, fabriqués par le Syndicat, 117-118. — Confronté avec Mme de Boulancy, 122-123. — Reconnaît l’identité du bordereau original avec le fac-similé, 127. — Sa femme le menace de rompre avec lui, 128. — Obtient l’ajournement de la demande en séparation et fait paraître sous le nom de sa femme une protestation contre la divulgation des lettres à Mme de Boulancy, 129. — Second rapport de Pellieux concluant au refus d’informer contre lui, 129-130. — Pressé par Henry et Tézenas de demander son renvoi devant un Conseil de guerre, dont le verdict d’acquittement lui est promis, 130-131. — Sa lettre à Pellieux, 132. — Est l’objet d’un ordre d’informer signé de Saussier, 133. — Fait publier une fausse dépêche que lui aurait adressée Boisdeffre, 134-135. — Démenti de Boisdeffre, 135-136. — l’instruction contre lui est confiée à Ravary, 170. — Prie Ravary d’entendre Junck, Gonse et Boisdeffre, 170. — Est tenu par Henry au courant de l’instruction, 170-171. — Sa démarche à l’Alibi office ; ses dénégations au sujet de la lettre du Ulhan, 172. — Nie les propos qui lui sont attribués par un garçon coiffeur, 173. — Déclare à Ravary ne pas connaître Mlle de Comminges, 173. — Impression produite sur Ravary par son système de défense, 176. — Reçoit l’assurance que les experts chargés de l’examen du bordereau concluront en sa faveur, 178. — Scène entre Ravary et lui au sujet d’une lettre de Tézenas demandant que son écriture soit comparée à celle de Dreyfus, 179-180. — Met Tézenas au courant de cette scène, 180. — Conteste l’authenticité des pièces de comparaison qui lui sont présentées par les experts, 180-181. — Prie Ravary de faire expertiser par Bertillon la lettre du « Uhlan » et les lettres à Mme de Boulancy, 181. — Sa visite à Belhomme, 182. — Rédige une lettre de mise en demeure à Boisdeffre ; en garde les deux brouillons, 182-183. — Joue le désespoir devant Marguerite Pays et Christian, 184. — Envoie Christian avertir Du Paty qu’il se suicidera s’il ne sort pas indemne de l’instruction, 184-185. — Le rapport des experts sur le bordereau lui est communiqué : il juge ce rapport insuffisant, 188. — Proposition de Ravary tendant à clore l’instruction par un non-lieu, 189-191. — Ordonnance de Saussier le renvoyant devant un Conseil de guerre, 192. — Obtient que les ex-