Aller au contenu

Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/132

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
124
HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

trôleur Peyrolles et Picquart, 518-519. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), IV, 451. — Cité par Jouaust au procès de Rennes, V, 284. — Découverte de son télégramme à Saussier rendant compte de la parade d’exécution de Dreyfus, VI, 271. — Son entretien à ce propos avec Joseph Reinach ; écrit à Baudouin sur le conseil de Reinach, 446, 447, 448. — Nommé général par Picquart, 448, note 4.

Guérin (Eugène), sénateur. Ministre de la Justice dans le cabinet Dupuy (1894). Désigne à Mercier l’expert Gobert, I, 78. — Apprend les résultats de l’expertise ; recommande à Gobert la discrétion, 133. — Charge le préfet de police de nommer trois experts judiciaires pour examiner le bordereau, 179. — Préside la commission pour la loi de dessaisissement, VI, 84. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), IV, 451-452. — Sa déposition à Rennes sur les circonstances de l’arrestation de Dreyfus, I, appendice, 586-587. — Chargé du rapport sur le projet d’amnistie, VI, 84-85. — Dépose son rapport au Sénat (29 mai 1900), 123 ; 139.

Guérin (Jules), agitateur antisémite. Témoin de Lamase dans son duel avec Crémieu-Foa, II, 55 et note 2 ; 57. — Témoin de Morès dans son duel avec Mayer, 58-60. — Organise à Paris des réunions antisémites ; bagarres auxquelles ces réunions donnent lieu, III, 277. — Fait afficher un placard la veille du procès Zola, 335. — Provoque des manifestations pendant le procès, 342, 349, 462. — Réunions tumultueuses à la salle Chaynes, 463 et note 3. — Passe au service du duc d’Orléans, IV, 302-304. — Prend part à l’agitation royaliste, 305-309, 331-332. — Arrêté au cours d’une manifestation aux abords de la Chambre, 337. — Son journal l’Anti Juif, 425-426. — Provoque des bagarres à Nantes, 426. — Poursuivi en correctionnelle pour voies de fait ; son acquittement, 427. — Organise une manifestation devant le Cherche-Midi ; insuccès de sa tentative, 428. — Mobilise ses bandes en prévision du procès Mme Henry-Reinach, 526. — Sa participation à la tentative de Reuilly, 586, 590, 597, 601. — Se barricade chez lui après l’arrestation de Déroulède, 615 ; installe rue de Chabrol son « Grand Occident Français », V, 74. — Félicite Déroulède de son acquittement, 91 et note 2. — Nouveaux crédits que lui alloue le duc d’Orléans ; le « fort Chabrol », 113 et note 3. — Conciliabules royalistes tenus au « fort » ; préparatifs d’un coup de force, 183. — Ses conférences avec le duc d’Orléans, 184, note 1. — Complot organisé par Déroulède, 257, 261. — Sur le point d’être arrêté, se réfugie au « fort Chabrol », 311. — S’enferme dans le « fort » avec quatorze de ses compagnons : le siège, 422-426. — Se rend, VI, 30. — Déféré à la Haute-Cour, 32. — Son attitude pendant les débats, 59, 61. — Condamné à dix ans de détention, 64-65.

Guérin (Léon-Félix), colonel en retraite, député de la Manche. Présente la première partie de l’ordre du jour de confiance à l’issue de l’interpellation de Mun sur la lettre « J’accuse » (séance du 13 janvier 1898), III, 239, note 1.

Guérin (Thomas-Henry), expert du ministère des Finances, de la Préfecture de Police, etc. Compare l’écriture du bordereau à celle de Dreyfus ; ses conclusions, II, 500, note 4.