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INDEX GÉNÉRAL

Guerrier (Jean), général. Découvre la fausse citation d’Esterhazy à l’ordre du jour de l’armée, rend compte à Billot de cette découverte, II, 47, note 2 ; 478-479. — Cité au procès Zola, n’est pas entendu, III, 360.

Guesde (Jules), député. Interrompt Mercier dans sa réponse à l’interpellation Lockroy (séance du 1er février 1894), I, 4. — Croit à l’innocence de Dreyfus, III, 34. — Garde une attitude réservée au début de l’Affaire, 254-255. — Échoue aux élections de 1898, 587. — Refuse de s’associer à la campagne revisionniste (manifeste du 28 juillet 1898), IV, 148 et note 2. — Fait partie du « comité de vigilance » constitué par les groupements socialistes en octobre 1898, 329-330. — Signe le manifeste du 12 juillet 1899 « à la France ouvrière et socialiste », V, 256, note 1. — Son attitude au Congrès socialiste (23 septembre 1900), VI, 133.

Guesdon, juge d’instruction. Son enquête sur la tentative d’assassinat contre Labori, V, 342, note 2 : 343, note 1 : 346, note 2 ; 347, note 4 ; 348, note 1 ; 353, note 2 ; 354, note 1.

Guieysse (Paul), député. Ministre des Colonies dans le cabinet Bourgeois (novembre 1895), II, 181, note 3. — Sollicité par Mme Dreyfus de l’autoriser à rejoindre son mari à l’île du Diable, lui transmet le refus opposé à cette requête par le conseil des ministres, 182 et note 2. — Son intervention lors de la discussion de la loi d’amnistie (décembre 1900), VI, 142. — Vote contre la loi, 146. — Apostrophe André au cours des débats sur la délation dans l’armée (séance du 4 novembre 1904), 414. — Réélu aux élections de 1906, 437, note 1.

Guillain (Florent), député. Ministre dans le cabinet Dupuy (octobre 1898), IV, 355. — Se prononce pour le projet de dessaisissement au conseil des ministres du 29 janvier 1899, 531. — Décline toute part de responsabilité dans les actes de barbarie exercés contre Dreyfus, V, 277, note 1. — Son discours sur l’affaire Voulet-Chanoine (séance du 30 novembre 1900), 427, note 2 ; 429, note 3.

Guillaume II, empereur allemand. Ordonne à Munster d’affirmer que Dreyfus n’a pas eu de relations avec l’Allemagne, I, 340. — Article de la Libre Parole sur les prétendues lettres que Dreyfus lui aurait adressées, 348 et note 1 ; légende du bordereau annoté, 348, 349 et note 2 ; 350 et note 2 ; II, 582, 636 et note 4. — Rôle que la presse antisémite lui attribue dans l’Affaire, I, 521. — Son appel direct à Casimir-Perier ; la dépêche Hohenlohe, 520, 524. — Sa visite à Herbette après la démission de Casimir-Perier ; impression produite par cette visite, 543, note 3 ; 559 et note 2. — Aurait affirmé sur son honneur l’innocence de Dreyfus, II, 510. — Rappelle Schwarzkoppen, à la suite du rapport de celui-ci à Schlieffen sur Esterhazy, 597-598. — Confidences de Pauffin de Saint-Maurel à Rochefort au sujet des prétendues lettres de Dreyfus ou relatives à Dreyfus, III, 3 et note 1. — Article de l’Intransigeant à ce sujet, démenti du gouvernement, 164-165. — S’oppose à ce que Schwarzkoppen fasse une déclaration publique sur l’Affaire, 43. — Note de l’agence Havas démentant qu’il soit intervenu auprès de Casimir-Perier en faveur de Dreyfus, 53 et note 1. — Déclare à la reine Victoria que Dreyfus est innocent, 53. — Détourné par Hohenlohe et Bulow d’une manifestation personnelle avant le