Aller au contenu

Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/199

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
191
INDEX GÉNÉRAL

ter démentant que Schwarzkoppen ait été en relations avec Dreyfus. 46-47, I, appendice, 600-601. — Sollicité par Henry de lui remettre une copie de la dépêche du 2 novembre 1894, lui dicte le texte de cette dépêche, III, 595-596. — Dépose, au nom du ministre des Affaires Étrangères, devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), IV, 512-513 ; III, 44 et note 1 ; 45 et note 2 : 48, note 1, 49. — Remet à la Cour la dépêche de Panizzardi au général Marselli, I, 243, note 2. — Sa déposition devant les Chambres réunies (mars-avril 1899) ; il établit la falsification du texte de la dépêche du 2 novembre 1894, V, 68 ; I, 248, note 5. — Chargé de faire avec Chamoin et Cuignet une nouvelle traduction de cette dépêche, V, 69-71. — Version ne varietur de la dépêche, 72, I, appendice, 592-593. — Cette version est contestée par Cuignet, V, 85. — Envoyé par Delcassé au procès de Rennes, 270. — Sa déposition, 301, 376, 454. — Prévoit la condamnation de Dreyfus, 415, 526. — S’oppose, au nom de Delcassé, aux conclusions de la défense tendant à ce que les notes du bordereau soient officiellement demandées au gouvernement allemand, 484, 486. — Communique aux Juges la note du Moniteur de l’Empire confirmant la déclaration de Munster au sujet de Dreyfus, 495. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de Rennes), VI, 327, 359 ; au procès Dautriche, 384.

Pallier, lieutenant. Son rapport sur l’affaire Voulet-Chanoine, V, 428, note 3 ; 430.

Panisse (Pierre de). Arrêté au cours des scandales d’Auteuil, V, 116, note 2.

Panisse-Passis (Marquis H. de). Arrêté au cours des scandales d’Auteuil, V, 116, note 2.

Panizzardi, colonel, attaché militaire italien. Ses relations d’espionnage avec Schwarzkoppen, I, 20, 30. — Reçoit de Schwarzkoppen les renseignements intéressant l’Italie fournis par Esterhazy mais ignore le nom de ce dernier, II, 87-88. — On lui attribue la lettre Canaille de D…, I, 31. — Ses visites à De Sancy et à Davignon, 299, II, 86. — La lettre dite « Davignon » est interceptée et classée, I, 35. — Ses rapports avec Schwarzkoppen dénoncés à Guénée par Val-Carlos, 35. — Reçoit la visite de Schwarzkoppen après l’arrestation de Dreyfus ; ni lui ni Schwarzkoppen ne connaissent Dreyfus, 243 et note 1. — Son rapport au général Marselli au sujet de Dreyfus, 243. — Sa dépêche du 2 novembre 1894 ; réponse de Marselli, 244. — La dépêche du 2 novembre interceptée et déchiffrée au ministère des Affaires Étrangères, 246-248 : contre-épreuve de Sandherr, 249-250. — La lettre « Davignon » et la pièce Canaille de D… font partie du dossier secret, 353-354. — Commentaire de Du Paty sur ces pièces, 355-359. — Arrivée au bureau des Renseignements de sa lettre à Schwarzkoppen dite « pièce des chemins de fer » ; falsification de la date de cette lettre, IV, 475. — Deux faux sont fabriqués par Henry avec deux de ses lettres à Schwarzkoppen, II, 410-418. — Confidences que lui fait Schwarzkoppen avant son départ au sujet d’un faux de Lemercier-Picard ; il en rend compte à Tornielli, 598-599. — Son entretien avec le commandant de Fontenillat : il lui affirme n’avoir jamais eu de rapport avec Dreyfus, IV, 477. — Demande à Tornielli de protester contre l’attribution qu’on lui fait de la pièce Canaille de D