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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/200

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

et du « faux Henry », III, 50. — Entrevue de Tornielli et d’Hanotaux, 51-52. — Note signée de lui remise à Hanotaux par Tornielli ; il se déclare prêt à renouveler sa protestation par serment, 51 et note 2. — Signalé par Gonse à Pellieux comme ayant été l’intermédiaire entre Schwarzkoppen et Dreyfus, 75. — Casella lui remet une lettre de Schwarzkoppen établissant la culpabilité d’Esterhazy, 199-200. — Propos qu’il tient à un ami au sujet d’Esterhazy ; ces propos sont portés par Oscar Wilde à la connaissance d’Esterhazy, 295. — Cité par Zola comme témoin, 303. — Publication de la déposition que Casella n’a pu faire au procès Zola, 559. — Refuse de donner son avis sur cette publication ; est nommé attache militaire à Berne et quitte Paris, 560, note 2. — Remaniement du dossier Dreyfus par Henry : constitution du nouveau dossier, 588-592. — Découverte du « faux Henry », IV, 152-153. — Nommé colonel du 5e régiment de bersaglieri, 422, note 5. — Incidents soulevés devant la Cour de cassation (revision du procès de 1894) au sujet du décalque de la dépêche du 2 novembre, V, 64-74. — Déposition de Mercier au procès de Rennes au sujet de la pièce dite « des chemins de fer », 328-329 et note 1. — Discussion entre Maurel et Freystætter : le texte falsifié de la dépêche du 2 novembre a-t-il été communiqué aux juges de 1894 ? 400-401. — Dépêche de Labori l’invitant à venir déposer à Rennes, 486-487. — Le récit de son entretien avec Fontenillat est communiqué par Targe à André, VI, 251. — Découverte de la falsification de date de la pièce dite « des chemins de fer », 257-258.

Papillaud (Ad.), rédacteur à la Libre Parole. Reçoit une lettre signée Henry lui révélant l’arrestation de Dreyfus, I, 190 ; VI, 459. — Note qu’il fait paraître dans la Libre Parole, I, 191-192. — Ses démarches au domicile de Dreyfus et au ministère de la Guerre, 192-193. — Aurait rédigé l’article révélant l’arrestation de Dreyfus, 205-206. — Sa conversation avec Gauthier (de Clagny) au sujet de Dreyfus, 206. — Félicite Jaurès de son intervention dans la discussion du projet de loi sur l’espionnage (séance du 24 décembre 1894), 478. — Son enquête à Newport au sujet de la prétendue évasion de Dreyfus, II, 327-328. — Reçoit les confidences de députés radicaux après le débat soulevé par l’ouverture d’une enquête sur Esterhazy, III, 5 et note 2. — Démenti qu’il donne à Jaurès au sujet d’un propos que lui aurait tenu Esterhazy lors de la publication du fac-similé du bordereau par le Matin, 406, note 1. — Publication dans le Siècle de la lettre qu’il a reçue d’Henry et dont une copie avait été communiquée à Joseph Reinach ; polémiques de presse à ce sujet, V, 46 et note 7 ; 63, note 2 ; 400. — Son article sur Loubet (Libre Parole du 1er juin 1899), 114 et note 1. — Refuse de déposer devant la Cour de cassation au sujet du bordereau annoté sous le prétexte qu’il n’a pas de crucifix, VI, 323 et note 5. — Appelé devant le juge Boucard en vertu d’une commission rogatoire ; conteste que la lettre signée Henry, publiée dans le Siècle, émane d’Henry, et déclare que l’original n’est plus entre ses mains, 351-352.

Paquié, commandant. Notes données par lui à Esterhazy en 1884, II, 46.

Paraf-Javal, dessinateur. Réfute au procès de Rennes la dé-