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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/223

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INDEX GÉNÉRAL

488. — Membre de la commission de l’armée, vote l’article de la loi sur l’espionnage qui prononce la peine de mort contre les traîtres, II, 186, note 3. — Avait fait la connaissance de Picquart en 1891, 206. — Écrit à Darlan pour l’inviter à démentir les allégations de l’Éclair (article : le Traître) au sujet de la communication secrète ; silence de Darlan, 377. — Son entretien avec Bernard Lazare, 427. — Son opinion sur l’interpellation Castelin, 447. — Reçoit la visite de Mme Dreyfus, qui lui fait lire des lettres de son mari, 504. — Ses efforts pour convaincre Scheurer-Kestner de l’innocence de Dreyfus, 505. — Lettre par laquelle Scheurer-Kestner lui annonce qu’il s’en est convaincu (7 août 1897), 527, note 2. — Écrit à Mme Dreyfus que Scheurer-Kestner va poursuivre la réhabilitation de son mari, 528. — Sa correspondance avec Scheurer-Kestner : il le met au courant des procédures d’annulation et de revision, 538-539. — Fait connaître à ses amis les intentions de Scheurer-Kestner ; son entrevue avec Darlan à Vichy, 546-547. — Darlan l’autorise à lui faire adresser par Demange une note détaillée sur le procès de 1894, 547-548. — Son entretien avec Lebon, ministre des Colonies ; Lebon lui apprend qu’il a ordonné la mise aux fers de Dreyfus, 549-550. — Texte de la lettre qu’il destinait à Dreyfus et que Lebon refuse de transmettre, appendice, 704-706. — Lettre du 15 septembre à Scheurer-Kestner, relatant son entretien avec Lebon, 551. — Conversation avec Maurice Borel au sujet d’un sous-officier qui serait prêt à se dénoncer comme l’auteur du bordereau ; prévient Scheurer-Kestner, 555. — Informé des confidences de Boisdeffre à la princesse Mathilde au sujet du bordereau annoté, 580, note 1 ; VI, 328, note 8. — Conseille à Scheurer-Kestner, de demander l’annulation du jugement de 1894, II, 675. — Ses relations avec Mathieu Dreyfus ; affaire Voland, 676. — Son entretien avec Leblois, qui lui raconte les confidences qu’il a reçues de Picquart et lui montre les lettres de Gonse, III, 4. — Légende du Syndicat, 19-21. — Demande à Turrel d’intervenir pour faire entendre Picquart par Pellieux, 65. — Drumont invente qu’il aurait fait nommer Picquart au service des Renseignements, 82. — Affaire du « faux Otto » : il refuse de recevoir Lemercier-Picard et évente le piège qui lui est tendu, 108-111. — Rochefort l’accuse d’avoir fait fabriquer les lettres d’Esterhazy à Mme de Boulancy, 119. — Ses articles dans le Siècle au sujet de l’enquête Pellieux, 124. — La fausse dépêche de Boisdeffre à Esterhazy, 135-136. — Pris à partie par Millerand (séance du 4 décembre 1898) ; sa réplique, 144. — Son duel avec Millerand, 146 et note 5. — Publie dans le Siècle l’acte d’accusation de D’Ormescheville, 160. — Articles de Rochefort sur le « faux Otto » et les menées du Syndicat ; porte plainte contre Rochefort pour diffamation et contre Lemercier-Picard pour faux, 163-164. — Publie l’histoire de Raphaël Lévy, 166. — Égare sa serviette de député dans un compartiment de chemin de fer ; articles de journaux à ce sujet ; lettre de Tézenas à Ravary, 174. — Son entrevue avec Ravary, 175-176. — Proteste, dans une lettre ouverte à Billot, contre le huis clos au procès Esterhazy, 196. — Articles de Drumont et de Rochefort sommant Billot de le révoquer de son grade dans l’armée territoriale, 219. — Son opinion sur la lettre J’accuse, 241. — Accusé d’avoir prédit un « chambardement général » ; le propos est démenti par les députés auxquels il aurait été