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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/224

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

tenu, 243 et note 3. — Ses lettres à Milliard, garde des Sceaux, au sujet de la communication secrète : elles restent sans réponse, 250-251. — Publie dans e Siècle les « Lettres d’un innocent », 251-252. — Son entretien avec Mme Dreyfus après le discours de Cavaignac sur les aveux ; lettre publique de Mme Dreyfus à Cavaignac, 286. — Accusé par les antisémites d’avoir fait assassiner D’Attel, 291. — Demande à Barthou de l’entendre au sujet de la communication secrète ; refus de Barthou, 313. — Vote de la commission de l’armée au sujet de sa lettre à Billot ; il envoie sa démission au président de la commission, 327-328. — Son article dans le Siècle : « la Pièce secrète du procès Danton », 330. — Son entretien avec Bertulus au sujet de Lemercier-Picard, 331. — Reçoit une lettre de Lemercier-Picard, lui refuse une entrevue, 332. — Son procès avec Rochefort : scènes tumultueuses, 333. — Publie la correspondance Gonse-Picquart, 347. — Suit les séances du procès Zola ; manifestations hostiles dont il est l’objet, 349. — Jugement rendu dans son procès contre Rochefort ; attaques dont il est l’objet à cette occasion, 362. — Le soir de l’audience où Pellieux produit la prétendue lettre de Panizzardi, il écrit dans le Siècle que ce document « pue le faux », 442-443. — Publie « le Curé de Fréjus ou les preuves morales », 533. — Révèle la mise aux fers de Dreyfus, 536. — Sa profession de foi aux élections de 1898 ; sa campagne électorale, son échec, 583-586. — Mis par Trarieux au courant des confidences de Christian Esterhazy sur son cousin, 615. — Son article sur les Enseignements de l’Histoire ; il est déféré par Billot à un conseil d’enquête de région pour avoir, « en dehors de la période d’activité, publié contre ses chefs un article injurieux », 634-635. — Sa défense, 635-638 ; lettre de Conybeare, 638 ; articles de Clemenceau et de Guyot, 639. — Révoqué de son grade, 639. — Sa lettre à Monod au sujet de l’examen du dossier secret par Cavaignac, IV, 2, note 1. — Article dans le Siècle du 7 juillet 1898 sur la communication secrète, 19 et note 2. — Réunion du 8 juillet chez Labori ; il engage Picquart à dénoncer la falsification des documents sur lesquels on prétend établir la culpabilité de Dreyfus ; lettre de Picquart à Brisson, 33-34. — Communique au Temps la lettre de Picquart à Brisson, 35. — Apprend par les journaux le départ de Zola pour l’Angleterre, 57, note 1. — Publie dans le Siècle une série d’articles : les Faussaires, 86-87. — Invite Du Paty à le poursuivre en cour d’assises, 88. — Figure parmi les revisionnistes que Cavaignac projette de déférer à la Haute Cour, 125. — Se pourvoit contre le décret de Billot le rayant des cadres de l’armée territoriale, 127. — Son attitude lors de la suspension de Zola par le conseil de l’ordre de la Légion d’Honneur, 127-128. — Sollicite vainement Trouillot de modifier le régime auquel est soumis Dreyfus, 141. — Conjure Brisson d’épargner à la France la douleur de ne rendre justice qu’à un cadavre ; article dans le Siècle : le Rêve de Brisson, 145-146. — Son exclusion du Conseil général des Basses-Alpes est proposée par deux conseillers, 161-162. — Après le suicide d’Henry, publie dans le Siècle : Mes petites lettres, réponse à l’apologie d’Henry par Maurras, 253. — Suggère à Lockroy et à Delcassé de faire demander à Picquart un rapport sur l’Affaire, 262. — Désigne Darras à Brisson comme ministre de la Guerre, en prévision de la démission de Zurlinden,