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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/28

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

avec Charavay et Teyssonnières, 181-182. — Ses conclusions contribuent à décider l’arrestation de Dreyfus, 203. — Confirme son expertise, 266. — Dit que le bordereau vaut, à lui seul, plusieurs millions, 288. — Travaille avec D’Ormescheville, 300. — Ses nouvelles théories : le réticulage du bordereau, 301-310. — Opinion de Casimir-Perier sur son système, 311. — N’a pas prêté serment, 315. — Cité comme témoin au procès de 1894, 389. — Sa déposition, 422, 424. — Est traité de « misérable » par Dreyfus, 425. — Impression que produit sa déposition, 426-428. — Son expertise contestée par Demange, 434. — A ordre de ne pas mensurer lui-même Dreyfus, 505. — Version inexacte de Dupuy au sujet de son expertise, 585-586. — Il affirme au gardien-chef Lebars la culpabilité de Dreyfus, II, 129. — Son rapport jugé par Bernard Lazare, 191 ; par Picquart, 210. — Déclare que deux lettres d’Esterhazy sont de la même écriture que le bordereau, 291-292 ; appendice, 702-703. — Examine le faux « Weyler », 324-325. — Son système critiqué par Picquart, 342. — Décalque le faux « Weyler », 386. — Dénonce Teyssonnières comme ayant communiqué au Matin le fac-similé du bordereau, 431. — Sa visite à son cousin Hubbard avant l’interpellation Castelin, 432. — Teyssonnières l’accuse à son tour d’avoir communiqué le fac-similé au Matin, 513. — Comment il aurait photographié le bordereau, III, 14. — Esterhazy voudrait lui faire expertiser la lettre du Uhlan, 181. — Sa déposition au procès Esterhazy, 213 ; au procès Zola, 409-411. — Dénonce à Boisdeffre Esterhazy comme l’« homme de paille des Dreyfus », 412. — Identifie Lemercier-Picard après son suicide, 505. — Ne reconnaît pas l’écriture de Dreyfus dans des fragments de lettre que lui soumet Gonse, 593. — Renouvelle à Cavaignac les déclarations qu’il a faites à Boisdeffre, IV, 8. — Dépose à l’instruction Tavernier, 318 ; devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 514-515. — Son système réfuté par Dreyfus, V, 212. — Mercier étaye sur ce système la légende du bordereau annoté, 274-275, 333-334. — Sa déposition à Rennes ; réfutations de Poincaré, Sebert, etc., 433-437. — Son opinion sur la lettre de Panizzardi : la lettre D., aurait été récrite sur un autre D, VI, 258 ; appendice, 532. — Réfuté dans le nouveau mémoire de Dreyfus, 289. — Conclusions auxquelles l’amène la découverte d’une encoche sur le bordereau, 307. — La brochure verte, 308. — Critique de son système par Appel, Darboux et Poincaré, 309-310, 373-374, 464, note 7, 472, appendice, 541-542. — Mercier se retranche derrière sa démonstration, 315. — Son accusation reste la seule charge contre Dreyfus, 330. — Déclare que Dreyfus n’est pas l’auteur de la copie d’une instruction sur le chargement des obus, 475, appendice, 550.

Bertin (Eugène), général. Président du Conseil de guerre au procès Dautriche ; son attitude au cours des débats, V, 466, notes 3 et 5, VI, 382, note 3, 383, 387.

Bertincourt (Mlle). Voir Henry (Mme).

Bertin-Mourot (Albert-Léon), commandant, puis lieutenant-colonel attaché au 4e bureau du ministère de la Guerre. Donne au colonel Fabre des renseignements défavorables sur Dreyfus, I, 58-59. — Causes de son animosité contre Dreyfus, 70. — Dénonce (dans une note à Du Paty) l’intérêt porté par Dreyfus au plan de mobilisation pour