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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/298

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

Page 231, ligne 16. — Après : qu’on ne les a pas, ajouter : Il venait d’apprendre de Gonse qu’Henry était, en outre, un voleur. Gonse, en vidant les tiroirs du faussaire, y avait découvert la « masse noire » qu’il s’était constituée « au moyen de dépenses fictives », et qui s’élevait, ce jour-là, à près de trente mille francs (2). Cavaignac ordonna de reverser ces espèces dans la caisse et de faire le silence sur cette trouvaille.

Page 231, au bas de la page. — Ajouter : (2) Procès-verbal du 1er septembre 1898, signé Gonse. Le reliquat était exactement de 29.500 francs (Procès Dautriche et consorts, rapport Cassel. Dossier I, cotes 115 et 119).

Page 248, ligne 12. — Après : indigné, ajouter : Il interrogea ensuite Gonse, Lauth, et Gribelin, « qui maintinrent intégralement les accusations qu’ils avaient portées solennellement contre Picquart » (2) (au procès Zola et à l’instruction Fabre) ; et, ici encore, l’idée ne lui vint pas que ces officiers pouvaient mentir.

Page 248, avant-dernière ligne. — Au lieu de : (2), lire : (3).

Page 248, notes. — Au lieu de : (2), lire : (3), et ajouter une note (2) ainsi conçue : Rennes, III, 469, Zurlinden.

Page 291, lignes 7-10. — Supprimer : qui s’était concilié..... juges de l’Empire.

Page 313, note 5, in fine. — Ajouter : — Marchand raconta, dans son rapport, qu’il fut attaqué le 25 août 1898 par des derviches, qu’il les repoussa et que ce furent les fuyards qui avertirent Kitchener de la présence d’une mission européenne à Fachoda.

Page 317, ligne 1. — Au lieu de : cuirassées, lire : cuirassés.

Page 318, note, ligne 17. — Au lieu de : Desvernines, lire : Desvernine.