Aller au contenu

Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/299

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
291
CORRECTIONS ET ADDITIONS

Page 324, note 1, ligne 3. — Au lieu de : criminelles, lire : civiles.

Pages 331, ligne 17. — Au lieu de : En fait, ni les hommes de Déroulède…, lire : En fait, sauf Déroulède lui-même, ni ses patriotes…

Page 331, note 5. — Après : temps, ajouter : Il écrira plus tard à son avocat (Falateuf) : « Le premier coup de force eût éclaté le 25 octobre contre le ministère Brisson, si la Chambre ne l’eût brutalement jeté bas. La tentative fut donc ajournée à une autre heure. » (Galli, loc. cit., 127).

Page 336, note 2, in fine. — Ajouter : De même Drumont : « Pendant la suspension de séance, nous étions accoudés tous les deux (Clovis Hugues et moi) à la balustrade de la terrasse du Palais-Bourbon qui fait le coin du quai et de la rue de Bourgogne. On aperçoit de là le va-et-vient des voitures et des passants sur la place de la Concorde. « À quoi pensez-vous ? me dit Clovis Hugues. Vous prêtez l’oreille pour entendre le tambour des grenadiers d’Augereau qui viennent sauver la République ?… » Que s’est-il passé, au juste, dans cette minute oscillante et perplexe où chacun croyait que « Ça y était » ? (Libre Parole du 6 septembre 1910.)

Page 360, note 2, in fine. — Ajouter : Plus tard. Marchand raconta qu’il lui aurait été aisé de tenir en échec les Anglais avec ses 180 fusiliers soudanais, que Fachoda était imprenable, que les Égyptiens se seraient tournés contre Kitchener, que les Abyssins se fussent mis de la partie (Figaro du 26 août 1904).

Page 369, ligne 26. — Après : bordereau annoté, ajouter : Des détournements d’Henry, dont Cavaignac avait eu la preuve par Gonse, de la caisse noire qui expliquait tant de dévouements patriotiques, pas un mot.

Page 390, note 1, ligne 11. — Au lieu de : Lallier, lire : Lailler.

Page 432, note 4. — Après : En Suisse, ajouter : et le