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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/32

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

tière de l’Est, 442-445. — Sa déclaration à la Chambre avant l’interpellation Castelin, 447-448. — Demande, après l’interpellation, l’ordre du jour pur et simple, 451. — Défend à Picquart de repasser par Paris avant de se rendre de Châlons à Besançon, 468 ; le fait venir à Marseille et l’avise qu’il l’a chargé d’organiser le service des Renseignements en Algérie et en Tunisie, 470 ; lui refuse l’autorisation de rentrer dans la troupe, 473. — Sollicité par J. Roche, Grenier et Montebello en faveur d’Esterhazy, 479, note 3 ; 483. — Fait rayer une fausse citation à l’ordre du jour portée sur les états de service d’Esterhazy, 47. — Attaques dont il est l’objet de la part de Drumont et de Rochefort, 488. — Avisé par Bertin-Mourot de la campagne menée par Scheurer-Kestner en faveur de la revision, 510. — Son entretien avec Scheurer ; il invoque la prétendue lettre de Panizzardi à Schwarzkoppen comme preuve irréfutable de la culpabilité de Dreyfus, 514-515. — Met Esterhazy en non-activité, 540. — Envoie Bertin chez Scheurer pour pénétrer les desseins de celui-ci, 543 ; cherche à se renseigner auprès de Joseph Reinach, 556-557. — Fait faire par le contrôleur général Martinie une démarche officieuse auprès de Mathieu Dreyfus, 557 et note 1. — Renvoie Bertin prier Scheurer de ne rien entreprendre sans avoir conféré avec lui, 558. — Moyens d’intimidation dont Esterhazy use contre lui, 560 et note 1. — Croit Esterhazy coupable, 563. — Sommé par une lettre anonyme d’agir contre Scheurer et Picquart, 568. — Défend à Gonse et à Boisdeffre d’avertir Esterhazy, 570. — Aurait ordonné à Gonse de constituer un dossier relatif aux prétendus aveux de Dreyfus, 575, note 4. — Laissé par Gonse dans l’ignorance d’une démarche d’Esterhazy à l’ambassade d’Allemagne, 597. — Saisi par Esterhazy d’une demande d’audience, le fait recevoir par le général Millet, 601. — Reçoit d’Esterhazy une lettre qu’il montre deux jours après à Boisdeffre, 607, 610. — Cherche à voir Scheurer, 616. — Apprend que Scheurer a l’intention de se confier d’abord à Félix Faure ; prévient Boisdeffre 620. — Reçoit la visite de Scheurer, et lui promet d’ouvrir une enquête personnelle sur le bordereau, 625-629. — Lettre de Scheurer le conjurant de chercher la vérité, 630-631. — Dément qu’aucune communication ait été faite à la presse par les bureaux de la Guerre, 636-637. — Feint de croire à la fable du « document libérateur » et de la « dame voilée », 646. — Fait interroger Picquart à ce sujet par le général Leclerc, 646-647. — Charge Henry d’une enquête sur Esterhazy, 647. — Félix Faure lui communique une lettre d’Esterhazy, 655-657. — Fait interroger Esterhazy par Saussier, 660 ; reçoit le rapport de Saussier, 662. — Accepte puis refuse de communiquer à Darlan le dossier Dreyfus, 664-665. — Prend connaissance des dépêches Blanche et Speranza, 671 ; sollicité par Picquart d’ouvrir une enquête sur ces dépêches, 671. — Son entrevue avec Scheurer : lettre de Scheurer à Ranc sur leurs entretiens, 680-681. — Rentre en possession du « document libérateur », 686-687. — Lettre de Mathieu Dreyfus dénonçant Esterhazy, 692, note 2. — Saisi par Esterhazy d’une demande d’enquête au sujet de cette dénonciation, III, 1. — Déclare à la Chambre que sa conviction est restée la même sur le jugement de 1894, 4. — Invite Scheurer à saisir le garde des sceaux de sa plainte contre Esterhazy, 4. — Fait accuser réception du « document libérateur » à Esterhazy ; invite celui-ci à se tenir à la disposition de