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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/31

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INDEX GÉNÉRAL

Bézuel d’Esneval (Baron). Arrêté au cours des manifestations d’Auteuil, V, 116.

Bidault de l’Isle, président de Chambre. Renvoie, pour la troisième fois, l’appel de Lepelletier contre sa condamnation par défaut : Picquart et Joseph Reinach ont recours à la procédure exceptionnelle de la prise à partie contre lui, VI, 140.

Bidegain, secrétaire général adjoint du Grand-Orient de France. Soustrait des lettres de Mollin à Vadecard et un millier de fiches qu’il vend à Guyot de Villeneuve et à Syveton, VI, 400-402. — Remet à Syveton un tableau de concours pour la Légion d’Honneur, paraphé par André avec renvoi aux fiches de Mollin, 409-410.

Bigot, ancien député. Porté pour un poste de procureur général sur la liste des futurs fonctionnaires du duc d’Orléans, IV, 332, note 4.

Billet, concierge au ministère de la Guerre. Sa déposition à l’instruction Fabre au sujet des visites de Leblois à Picquart, II, 233, note 4.

Billot, général. Engage Scheurer-Kestner à ne pas s’occuper de l’affaire Dreyfus, II, 169-170. — Ministre de la Guerre dans le cabinet Méline, 197, note 1 : son opinion sur Boisdeffre, ses rapports avec lui, 201. — N’est pas informé de l’enquête ouverte par Picquart sur le « petit bleu », 247. — Retient, « pour sa police secrète », 80.000 francs sur un crédit de 100.000 francs demandé pour la section de statistique, 282 ; 626. — Approuve l’enquête de Picquart sur Esterhazy, 283, 289, note 6. — Sollicité par plusieurs parlementaires en faveur d’Esterhazy, 284 et note 3 ; 287-288. — Apprend les démarches de Weil pour faire entrer Esterhazy au service des Renseignements, 288. — Ordonne de remettre à Picquart les lettres de Weil et d’Esterhazy, 289. — Averti de l’interception du faux « Weyler », 325. — Autorise Picquart à demander au colonel Abria des spécimens de l’écriture d’Esterhazy, 333. — Reçoit les révélations de Picquart, 334 ; lui promet de l’aider à faire la lumière sur l’Affaire, 335. — Ses hésitations, son inquiétude, 336-340. — Laisse Méline dans l’ignorance des faits révélés par Picquart, 340. — Son entretien avec Boisdeffre, 341. — Suit les manœuvres de juillet 1896 dans les Charentes, 359. — Refuse à Picquart l’autorisation de tendre un piège à Esterhazy, 363 et note 3. — Refuse de démentir les assertions de l’Éclair relatives à la communication secrète, 377-378. — Invite Picquart à surveiller Esterhazy, 381. — Refuse, malgré les instances de Jules Roche et de Montebello, de faire entrer Esterhazy au ministère de la Guerre, 383. — Fait opérer par Picquart une perquisition au domicile d’Esterhazy, 384-385. — Sollicité par Gonse et Boisdeffre d’envoyer Picquart au Tonkin, s’y refuse, mais décide de le charger de contrôler les services d’espionnage sur les frontières de l’Est et du Sud-Est, 398-399 ; 482, note 1. — Ses craintes au sujet de l’interpellation Castelin, 402. — Boisdeffre le convainc de la culpabilité de Dreyfus en lui montrant la prétendue lettre de Panizzardi à Schwarzkoppen (faux Henry), 423-424. — Entretient Picquart de la lettre de Panizzardi où Dreyfus est nommé, 437 et note 4. — Montebello lui communique un billet menaçant adressé à Weil, 440. — Pressé par Gonse et Boisdeffre de faire partir Picquart, 442. — Met Picquart au courant des griefs relevés contre lui et lui enjoint de se rendre à la fron-