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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/83

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INDEX GÉNÉRAL

des conclusions de Labori tendant à l’autoriser à assister aux débats du procès Esterhazy, 203-204. — Autorise Joseph Reinach à publier les lettres de son mari, 251. — Sa lettre à Cavaignac au sujet des visites de Du Paty à Dreyfus : réponse de Cavaignac, 286, notes 2 et 3. — Citée par Zola comme témoin à son procès, 302. — Fait la connaissance de Picquart, 341. — Sa comparution à la barre : la Cour refuse de l’entendre, 345-346. — Demande à nouveau l’autorisation de rejoindre son mari ; rejet de sa requête, 539 — Adresse à Sarrien une requête en annulation du procès de 1894, IV, 17 et note 1. — Lettre que lui écrit Mme Félix Pécaut, 134. — Sa requête en annulation est laissée sans réponse, 141. — Nouvelle requête à la suite des aveux et du suicide d’Henry, 234 et note 5 ; la requête est transmise par le Conseil des ministres à la Cour de cassation, 298 ; la Cour la déclare recevable en la forme, 348. — Demande à informer son mari par dépêche : démarche de Joseph Reinach au ministère de l’Intérieur : refus de Dupuy, 372. — La Cour de cassation ordonne que Dreyfus soit averti et invité à préparer ses moyens de défense, 373-374. — S’oppose à la cassation sans renvoi, V, 76. — Mémoire de Mornard à la Chambre criminelle, 75-76 ; plaidoirie de Mornard, 97. — Son arrivée à Rennes : incidents, 203-204, 207 ; ses entrevues quotidiennes avec son mari, 209 ; n’assiste pas aux séances du procès, 528-529. — La condamnation, 534. — Mise en liberté de Dreyfus ; lettre qu’elle reçoit de Mme Zola, VI, 1-2.

Dreyfus (Mathieu), frère du capitaine. Son caractère, I, 129-130 ; son patriotisme, 149. — Mandé à Paris par dépêche, il apprend l’arrestation de son frère, 210. — Son entrevue avec Du Paty ; épreuve à laquelle il lui propose de soumettre son frère, 212. — Particularités relevées par Bertillon dans son écriture comparée à celle du bordereau, 300 ; une de ses lettres fournit à Bertillon la clef du prétendu système employé par Dreyfus, 304. — Demande à Waldeck-Rousseau de défendre son frère ; Waldeck-Rousseau l’adresse à Demange, 324 ; conditions auxquelles il obtient le concours de Demange, 325. — Sa démarche auprès de Sandherr, 316 et note 2 ; imputation à laquelle cette démarche donnera lieu plus tard, 361 et note 2. — Assiste au commencement des débats du procès de 1894, 386. — Sollicitations équivoques dont il est l’objet, 392, note 2. — S’établit à Paris pour se consacrer à la réhabilitation de son frère, 462. — S’entretient avec celui-ci après le procès ; promesses qu’ils échangent, 490. — Confie à un correspondant à Cayenne le soin de s’occuper des intérêts matériels de Dreyfus, II, 133, note 2. — Chargé par la famille de poursuivre la revision, 162-163. — Son portrait physique et moral, 163-164. — S’oppose à la publication d’une protestation rédigée par Arthur Lévy, 164 et note 2. — Demande à Demange le dossier du procès, 165 ; décision du Conseil de l’Ordre des avocats s’opposant à la communication, 165-166. — Comment il se procure copie de l’acte d’accusation et des notes prises par Dreyfus au Cherche-Midi, 166. — Surveillé par le service des Renseignements ; conseils que lui donne Demange, 166, 301. — Pièges qui lui sont tendus : la femme Bernard, 166-167. — Ses démarches auprès d’hommes politiques et de journalistes, 167. — Scheurer-Kestner l’engage à s’adresser à un ancien agent de la sûreté, 169-171. — Apprend que le docteur Gibert croit à l’innocence de Dreyfus, 171. — Découvre que son frère a été con-