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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/84

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

damné sur la communication de pièces secrètes, 177-178. — Recherche l’auteur du bordereau ; ses soupçons à l’égard de Donin de Rosières, 182-183 ; différentes pistes suivies par lui ; il apprend que la découverte de la pièce « Canaille de D… » est antérieure à la venue du bordereau, 184. — Se décide à faire publier une brochure résumant l’accusation et la défense, 187. — Bernard Lazare accepte d’écrire un mémoire en faveur de Dreyfus, 189 ; ajourne la publication du mémoire, 192. — Fait lancer la fausse nouvelle de l’évasion de son frère, 304-307 ; impression produite par cette nouvelle ; ordres donnés par Lebon, 307-311. — Picquart lui attribue l’article de l’Éclair intitulé : Le Traître, 355-356. — Publication du mémoire de Bernard Lazare (6 novembre 1896), 427-429. — Fait expertiser l’écriture du bordereau et celle de son frère ; publie le résultat des expertises, 500-502. — Renseignements qu’il obtient au sujet de la lettre « Canaille de D… » ; nouvelles pistes, 502-503. — Dément les déclarations du commandant Boyer à Scheurer-Kestner au sujet de la comptabilité de son frère, 507. — Incident Martinie, 556-558. — Lettre portée par Esterhazy à l’Alibi-Office, 589-590. — Ses relations avec Scheurer-Kestner ; imputations mensongères auxquelles elles donnent lieu, 633. — Ses entrevues quotidiennes avec Joseph Reinach, 676. — Affaire « Voland », 676. — Fait mettre en vente des fac-similés du bordereau et de l’écriture de son frère, 677. — Apprend par Castro l’identité de l’écriture du bordereau avec celle d’Esterhazy, 678. — Invité par Scheurer-Kestner à adresser une demande d’enquête à Darlan, 679. — Sa lettre à Billot dénonçant Esterhazy comme l’auteur de la trahison, pour laquelle son frère a été condamné, 691-692. — Déclaration de Billot à la Chambre (séance du 16 novembre 1897), III, 4. — Menaces d’Esterhazy à son adresse, 9. — La légende du Syndicat, 19-21. — l’enquête sur Esterhazy est confiée à Pellieux, 55. — Sa première entrevue avec Pellieux, 57-58 ; demande à Pellieux d’entendre Scheurer-Kestner, 58. — Impression que lui donne l’accueil de Pellieux, 59. — Accusé par Georges Berry d’être officier dans l’armée allemande, 83. — Sa déposition à la seconde enquête Pellieux, 97-98. — Croit que le bordereau a été écrit en mai 1894, 100. — Affaire du faux « Otto », 110. — Démarche faite auprès de lui par un agent se disant le colonel Léon, 111, note 2. — Esterhazy déféré au Conseil de guerre, 130-131. — Communique l’acte d’accusation de D’Ormescheville à Joseph Reinach qui le publie dans le Siècle, 160-161. — ; Instruction ouverte contre lui pour une prétendue tentative de corruption à l’égard de Sandherr, 162-163. — Témoins civils entendus à sa requête à l’instruction Ravary, 170 ; révèle à Ravary l’incident Autant-Marguerite Pays, 171. — Fait saisir chez un avoué la lettre d’Esterhazy dite du Uhlan, 172 ; remet à Ravary une lettre d’Esterhazy à Weil, 172 ; attitude de Ravary à son égard, 174. — Révèle dans le Siècle, les démarches faites auprès de lui par Martinie au nom de Billot, 195. — Envoie Casella trouver Schwarzkoppen à Berlin, 199 ; refuse de prendre connaissance de la lettre de Schwarzkoppen à Panizzardi rapportée par Casella et incriminant formellement Esterhazy, 199-200. — Témoin au procès Esterhazy ; il fait la connaissance de Picquart, 204. — Rejet des conclusions de Demange tendant à ce qu’il soit autorisé à intervenir dans les débats, 204. — Sa déposition ; vif incident entre Tézenas et lui, 208. — Sa