Aller au contenu

Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/94

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
86
HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

tulus, 525-526. — Ses méfiances à l’égard d’Henry et d’Esterhazy, 527. — Mandé par Gonse ; se défend des accusations portées contre lui, 528. — Manœuvres d’Henry pour le perdre, 529-530. — Dicte à Gonse le faux texte de la dépêche du 2 novembre qui figure au dossier secret, 601-003. — Refuse de prendre la succession d’Henry au service des renseignements, 612-613. — l’enquête de Bertulus démontre qu’il n’est pas l’auteur de la dépêche Speranza, 617. — Reçoit la visite d’Esterhazy après le renvoi de celui-ci devant un Conseil d’enquête, IV, 36. — Comment son rôle dans l’Affaire est présenté par Henry à Roget, 60-63. — Mépris que conçoit Roget à son égard, 60-63. — Il est interrogé par Cavaignac, 65. — Gonse, Gribelin et Roget excitent Cavaignac contre lui, 66-68. — Henry le dénonce à Bertulus, 81. — Plainte en faux portée contre lui par Picquart, à l’instigation de Bertulus, 86-88. — Articles de Joseph Reinach contre lui, 87. — Cavaignac lui refuse l’autorisation de poursuivre Reinach, 88. — Le « télégramme Berthe », 89-90. — Ordonnance rendue contre lui par Bertulus, 91-92 ; pourvoi du ministère public, 93. — Arrêt de la Chambre des mises en accusation dessaisissant Bertulus, 94-96. — Attitude de Cavaignac à son égard, 119-120. — Cité comme témoin au Conseil d’enquête chargé de se prononcer sur Esterhazy, 170. — Sa déposition, 171-175. — Accusé par Esterhazy d’être l’auteur de la « note aux deux écritures », 176. — Sa seconde déposition devant le conseil d’enquête, 179. — Zurlinden charge le général Renouard de l’interroger, 245. — Dénoncé par Cuignet comme l’instigateur du « faux Henry », 247, 469. — Son interrogatoire par Renouard, 255. — Sa mise en disponibilité par retrait d’emploi, 258-259. — Poursuites décidées contre lui par le Conseil des ministres, 470. Sa déposition devant la Chambre criminelle, 518-519 ; devant les Chambres réunies, V, 63-64. — Arrêté par ordre de Krantz et conduit au Cherche-Midi, 98. — Sa défense à l’instruction Tavernier, 239-240. — Non-lieu rendu en sa faveur, 238-239. — Déclare que le décalque officiel de la dépêche Panizzardi est un faux, 240. — Sa prétendue maladie ; il ne se rend pas au procès de Rennes, 284, 292. — Sa note sur le décalque de la dépêche Panizzardi est remise par Mercier à Chamoin, 297-298 — Jugement porté sur lui par Roget au procès de Rennes, 384, note 3 ; par Picquart, 392. — Mis en cause pendant les débats, 401. — Labori demande qu’il soit examiné par des « médecins commis », 401-402. — Interrogé chez lui par Tavernier, sur l’ordre de Jouaust, 404 ; ambiguïté de ses déclarations, 405. — Injures d’Esterhazy à son adresse, VI, 74. — Des lettres de lui sont montrées par Esterhazy au consul de France à Londres, 78. — Dépeint par Zola dans le roman Vérité sous le nom de frère Fulgence, 181. — Dénonce une prétendue connexité entre l’affaire Humbert et l’affaire Dreyfus, 225. — Indiqué par Gribelin à André comme l’auteur de la dépêche Speranza, 263. — Éconduit par André à qui il avait demandé audience, 270. — Sa déposition à l’enquête de la Chambre criminelle (revision du procès de Rennes), 303-306. — Fait résulter la culpabilité de Dreyfus du système déduit par Bertillon de la « superposition des encoches », 307-308. — Jugement porté sur lui par Séverine, 315. note 1. — Pris à partie dans le réquisitoire de Baudouin devant la Cour de cassation, 446. — Accuse Baudouin d’avoir falsifié son commentaire, 449 et note 2. — Mornard lui reproche dans sa plaidoirie d’avoir tenu