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Page:Jourdain - Les Décorés, 1895.djvu/205

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JEAN RICHEPIN

coups de dynamite, la monarchie chinoise ou qu’il se soit placé à la tête d’une bande de partisans dans le but de reconquérir le saint sépulcre ; qu’il ait accepté une chaire de littérature dans un lycée de jeunes filles ou qu’il ait produit un chef-d’œuvre. Demain, sera-t-il Dieu, table ou cuvette ? Oublions Vers la joie, et demandons à sœur Anne si elle ne voit rien venir.

Mais ces à-coups n’ont jamais pour mobiles de bas calculs d’intérêt personnel ; car Richepin reste aussi sincère dans ses accalmies que dans ses tempêtes, dans ses reculades que dans ses emballements.

En résumé, un consciencieux, un probe, un fier, un véritable littérateur doublé d’un brave homme.