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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/161

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IX

Sur la rampe sacrée, accoudée
torse amolli et front de lys, qui penche
vers le désir élancé des branches
de ce lent mal tout occupée.

Des caresses de l’inguérissable —
ah tant meurtrie de son regard aux dunes —
et ses pas vers l’esplanade inusable
de l’alternatif à toi.

Enfui sur le soleil de l’heure
le dictame du magicien !

sur la tour écartelée
des orgueils et des malechances
accablé de son regard aux dunes