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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/195

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Aux margelles des puits profonds qui s’ignorent en ses jeux inconnus
je les oublierai, perdu dans un rêve de bras nus.

La nuit a des douceurs de brise dans les voiles
et sur les rois perdus de douceurs inconnues
la blondeur de la nuit défaille en flots d’étoiles