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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/307

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Un synode de pintes boude,
l’air lourd, sur un coin d’étagère,
d’être sacrifié à des verres
en danse de caprices bohémiens.

Près du divan où tes yeux clos
font l’ombre aux gracieux enclos
des lueurs lunaires captives,
votre théâtre tient clos ses rideaux
en attendant les féeries fugitives
de ton réveil en ton château.

Votre domaine est terre de petite fée.