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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/60

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Ils sont si clairs les cheveux roux
De Jésus dont je suis en quête.

Bon écuyer, c’est le chemin.
J’irai, sous la douceur de lune,
Vers la colline où j’en crois une
Qui m’indiquerait de la main

Où secourir les lendemains
Des humains navrés de fortune.