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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/63

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Berce le long regret qui crie à son allure
À la comète éparse en lente chevelure,
À ses pieds, sur la vague, en verdâtres moulures.

Se chauffer comme un bon lézard
Aux rythmes raffinés des arts ;
Sur les doux divans des hasards,
Dominer son rêve en César ;
Finir loin des ports en jonque bizarre.