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Page:Klapka - Trois Hommes en Allemagne, traduction Seligmann, 1922.djvu/292

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CHAPITRE QUATORZIÈME

Qui est sérieux, comme il convient à un chapitre dans lequel on prend congé du lecteur. Les Allemands du point de vue anglo-saxon. La Providence en casque et en uniforme. Le paradis du malheureux idiot. Comment on se pend en Allemagne. Qu’arrive-t-il aux bons Allemands quand ils meurent ? L’instinct militaire peut-il suffire à tout ? De l’Allemand boutiquier. La manière dont il supporte la vie. La Femme moderne là, comme partout ailleurs. Ce qu’on peut dire contre les Allemands comme peuple. Fin de la « balade ».


N’importe qui pourrait gouverner ce pays, dit George, moi, par exemple.

Nous étions assis dans le jardin du Kaiser Hof à Bonn ; nous regardions le Rhin. C’était la dernière soirée de notre « balade » ; le train qui devait partir le lendemain à la première heure allait marquer le commencement de la fin.

— J’écrirais sur un morceau de papier tout ce que je voudrais que le peuple fît, continua George, je trouverais une maison recommandable pour