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Page:L’Écho foutromane, 1880.djvu/62

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tâcher de vaincre son obstination qu’ils ne regardent pas comme sérieuse. L’un d’eux (je crois que c’est Pierrot) la saisit entre ses jambes, la trousse par derrière, et dans cette attitude qui le rend maître de tous ses mouvemens et qui met son postérieur dans la plus belle évidence, l’autre la fouette à tour de main ; lui-même lui en donne l’exemple. Ils pensent tous les deux par ce moyen la faire céder à leur commun désir ; cependant elle se débat entre leurs bras, rit, pleure, crie, rit encore, se débarrasse de leurs mains, et après s’être laissé mettre les fesses en feu, persistant toujours dans son refus, et sans paroître beaucoup plus émue, elle reprend son premier calme ; elle fait asseoir Arlequin à côté d’elle, et la chemise troussée jusqu’au nombril, la gorge étalée, laissant voir entièrement à découvert deux charmans globes, elle s’empare aussitôt de son vit, et joue du poignet avec une grâce enchanteresse : quant à Pierrot, un genou en terre, le chapeau à la main, il se tient prêt à recevoir l’éjaculation spermatique d’Arlequin : en effet la postérité mutilée de celui-ci, ne tarde pas à jaillir du fond de deux couilles bien excitées, non seulement dans le chapeau de Pierrot, mais encore sur son visage.